Avant de quitter les Fidjis, nous
voulions vous donner notre ressenti sur la destination qui certes fait rêver et
que peu de gens peuvent situer sur le globe terrestre. Nous sommes
littéralement tombés sous le charme de cette destination tellement la
population est gentille, souriante, communicative, toujours prête à aider. De
plus, les paysages et les fonds marins sont somptueux. Il s’agit véritablement
de la destination exotique où il faut se
rendre quand on est fan de snorkeling ou de plongée. This are the results of
the Belgium jury : Fidji 10 points !!!.
Bye bye Fidji. C’est à bord d’un
vol de 1h20 de Fidji Airways que nous
nous rendrons aux Tongas, ou plus précisément au royaume des Tongas. Il faut
savoir qu’il s’agit de l’unique monarchie du Pacifique Sud.
Après le décollage, Oli a dû
changer de place dans l’avion, car il était assis à côté d’un homme de forte
corpulence comme peuvent souvent être les habitants de ces contrées. L’hôtesse
n’était pas fort d’accord, mais quand il a dit « j’ai payé pour une place
et pas pour une demie », elle s’est pliée à sa requête sans trop
protester. Nous pouvons dire que le vol s’est bien déroulé jusqu’à l’atterrissage.
Nous avons survolé des îles et atolls éloignés soit des Fidjis, soit des Tongas,
avant d’être secoués comme des noix de coco peu avant l’aterrissage. Le pilote
a dû jongler avec les vents latéraux et de face en même temps. Nous apprendrons
le lendemain que les vents étaient exceptionnellement forts, certainement à
cause du gros cyclone qui s’était abattu sur les Samoas tout proches. Nous avons donc eu de la chance de pouvoir arriver
en un seul morceau.
Nous accomplissons nos formalités
douanières sans beaucoup de jovialité de la part de la douanière. Ensuite, nous
attendrons un temps infini pour
récupérer nos bagages dans une joyeuse désorganisation et indiscipline
de la part des tongians. Ces derniers revenaient de Hawaï aux Tongas pour les fêtes de fin d’année avec des valises
débordant de cadeaux pour la famille restée au pays. Nous récupérons finalement
nos bagages et devons nous soumettre au scan de tous nos bagages entrants. On nous demande à plusieurs
reprises si nous avons quelque chose à déclarer. Certainement pas, car on nous avait déjà confisqué un pot de confiture
à la mangue lors de notre vérification sécuritaire à l’aéroport de Nadi aux
Fidjis.
A la sortie du hall des arrivées,
notre chauffeur « Seini », que nous recommandons fortement (+676.773.50.55), nous
attend avec sa voiture pour nous conduire à notre Guesthouse à Nuku Alof’a,
la capitale de l’île de Tongatapu.
Nous lui demandons également si
nous pouvons retirer de l’argent à
l’aéroport avant de nous rendre en
ville. Il faut savoir que le changement de monnaie est toujours un casse-tête.
Comme nous ne voyageons pas avec des devises étrangères, nous devons jongler
avec nos cartes de crédit et bancaires. En effet, les montants des retraits
journaliers sont souvent plafonnés et cela ne simplifie pas les choses.
Après 30 minutes de voiture, nous
arrivons finalement à notre logement la « Noa Guest House », qui se situe dans un quartier à 5 minutes à
pied du centre et de la rue principale de la capitale.
Nous prenons possession de notre
chambre qui se situe à l’étage du bâtiment principal, avec salle de bain à
partager et une jolie terrasse privative. La cuisine commune se situe au rez de
chaussée et est comme souvent équipée du strict minimum et d’ustensiles
inutiles. Le point commun de tous les établissements jusqu’à présent est
que les draps pour essuyer la vaisselle sont souvent dans un état pitoyable,
l’eau est froide, le savon de vaisselle inexistant et les frigos un vrai poème.
Il ne faut pas être trop regardant en matière de propreté. Nous décidons donc,
mais peut-être un peu tard, d’acheter dès le lendemain notre propre essuie et
brosse à vaisselle.
Il nous est recommandé, si nous
désirons nous faire à manger, d’aller faire des courses avant que les magasins
ne ferment, car au royaume des Tongas, très croyant, tout s’arrête le dimanche,
même les épiceries tenues quasi exclusivement par des chinois.
Nous nous préparerons un excellent
repas typique « tourdumondiste » et non local : pennes, sauce
tomate et thon en boîte. Nous l’améliorerons en apéro d’un chips et d’un
assortiment de bières locales. Nous ne
demanderons pas notre reste et nous irons nous coucher après cette nouvelle
journée de voyage.
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