mercredi 30 avril 2014

Du parc national de Ranomafana à la ville de Fianarantsoa


Nous nous rendrons au parc avant les grandes canicules, même si une grande partie de celui-ci est à l’ombre. Nous emprunterons, en compagnie d’un guide, le pont qui enjambe la rivière du circuit pédestre qui en 2 heures nous permettra de voir un maximum de la faune et de la flore locale. Nous sommes gâtés, car nous avons pu apercevoir une assez grande variété de lémuriens, un gecko diurne ainsi que d’autres animaux. Nous aurons une magnifique vue sur une partie du parc national depuis une plate-forme. Nous commençons tout doucement à sentir nos jambes à chaque fois que nous montons et descendons les chemins balisés de ce circuit. Nos estomacs crient également famine.









Nous prendrons notre repas de midi dans un petit restaurant en bord de rivière où les autochtones viennent volontiers laver leur linge, voir se laver eux-mêmes. Le spectacle ne perturbera que peu notre repas. A la carte, une assiette de langoustines accompagnée de riz sauté pour Oli et du riz sauté accompagné de deux cuisses de poulet pour Nan. Nous avons invité Rivo à se joindre à nous avec son assiette de riz blanc au bœuf en sauce.



Nous déambulerons quelques peu dans ce petit  village qui se trouve en contre bas de l’entrée du parc avant de reprendre nos bagages à l’hôtel et nous mettre en route pour la ville de Fianarantsoa où nous établirons nos quartiers pour la nuit. 










Nous avons choisi comme établissement « la rizière », qui s’avère être une école d’hôtellerie avec un restaurant et quelques chambres. Nan avait trouvé cette adresse et ce concept original via le net. La chambre bien décorée est à la hauteur de nos  attentes et nous avons réservé dans la foulée le repas du soir au restaurant. Le hasard fait que nous sommes seuls dans la salle et bénéficierons ainsi de tout le personnel scolaire pour nous servir. Le repas était assez modeste, le service hasardeux, mais le cœur à l’ouvrage y était.





mardi 29 avril 2014

National 7 vers Ranomafana


Nous visiterons un atelier de transformation de corne de zébu en quittant Antsirabe. 



Ensuite, nous visiterons un atelier de confection de nappes brodées ainsi qu’un atelier de fabrication de bonbons artisanaux à base de diverses plantes aromatiques avant de parcourir les 225 Km qui nous séparent de notre prochaine halte : Ranomafana. 






Nous nous arrêterons sur le coup de midi dans la ville d’Ambositra pour y manger. Notre repas sera accompagné de musique jouée par un groupe local qui joue d’instruments assez particuliers. Nous sommes tombés littéralement sous le charme de cette musique envoutante et nous avons acheté leur CD.



Avant de reprendre la route à travers les hauts plateaux de la région Betsileo, nous digèrerons notre steak de zébu légumes-frites en nous promenant dans cette charmante ville.





La région offre une variété de paysages que nos regards ne quitteront que peu souvent tant le spectacle qui s’offre à nous est différent et l’animation de bord de route captivante.
















Ranomafana est connue pour son parc national de 43.600ha recouvert principalement de forêts humides où nous passerons quelques heures demain en espérant pouvoir apercevoir quelques-unes des 60 variétés de lémuriens que compte l’île de Madagascar. Nous prenons possession de notre chambre au « Setam Lodge » sans trop de conviction et nous irons nous coucher de bonne heure en vue d’être reposés pour affronter la journée du lendemain. Soit dit en passant, l’établissement est fort cher, le plus cher de tout notre circuit, mais c’est certainement dû à la proximité du parc national.