Fidji - Introduction

Celà fait pas loin d’une semaine maintenant que nous sommes dans l’archipel aux 323 îles, dont plus de cent sont habitées, pour une population totale de 850.000 habitants qui vous accueillent avec un fervent « Bula » qui n’est pas un cri tribal mais un chaleureux bonjour. L’autre mot qui est sur toutes les lèvres est « Vinaka » et signifie merci. Avant de partir il vous reste à dire « modé », au revoir.

Après un voyage en avion de 2h30 avec Air Calin au départ de Nouméa, nous avons foulé le sol Fidjien à l’aéroport international de Nandi où l’accueil a été comme souvent dans le Pacifique Sud, en musique et en chant. 

Les formalités douanières très vite accomplies, nous avons subi le scan des bagages entrants pendant que nous retirions un peu d’argent liquide au distributeur. Nous n’aurions pas dû nous atarder, mais tout de suite passer, car cela a laissé suffisamment de temps à une employée accomplissant correctement son travail de nous interpeller car il lui semblait avoir vu des pots en verre dans nos  bagages. Et oui, nous avions avec nous certains pots de rillettes et de foie gras généreusement envoyés depuis la Belgique par la maman de Nan. Heureusement, Oli a flairé la question et a répondu qu’il ne s’agissait pas de miel, mais bien de confiture en guise de cadeau aux personnes chez qui nous logions lors de notre tour du monde. Il semble qu’il a été convainquant, car nous avons pu déguster le tout à l’arrivée à notre logement,  le« Bamboo Backpackers ».

L’établissement est très bien situé en front de mer, le personnel est agréable et la chambre à la hauteur, vu le prix raisonnable  que nous payons. Clic, clic quelques photos des lieux pour ne pas oublier à quoi cela ressemblait une fois  rentrés à la maison et puis, un petit plouf dans la piscine, car il ne faut pas oublier que nous sommes en route depuis cinq heures du matin et que nous avons à nouveau un décalage horaire de deux heures en plus.

Nous ferons quelques petites courses à la superette du coin, où nous constatons directement que le coût de la vie est nettement inférieur à celui de la Nouvelle Calédonie ou de la Polynésie Française. Cela fait du bien au portefeuille. Nous  nous  coucherons bien fatigués et le ventre bien rempli.

Après une bonne nuit, nous décidons de passer la journée à planifier nos  trois  semaines fidjiennes, ce que nous ferons avec brio. Nous en profiterons également pour faire lessiver notre linge. Pour nous récompenser de ce travail ardu, nous nous inscrivons le lendemain pour une sortie snorkeling que nous vous conterons  dans un autre article.