La perle du Pacifique a également
son revers et la crise économique en est en partie responsable. Il y a
donc deux Bora Bora, celui des motus où sont installés les hôtels de luxe et le
Bora Bora de l’île principale où vit la population. Deux mondes qui ne se
côtoient pas nécessairement. Nombreux sont également les hôtels fermés, à
l’abandon quand ils ne sont pas squattés. Ces lieux ne drainent pas forcément
une population respectueuse des lieux. Selon nos informations, les
établissements de ce type sont au nombre de cinq. Pourquoi alors autoriser la
construction de nouveaux et pourquoi-pas avoir un plan d’assainissement après
fermeture comme dans l’industrie. Le tourisme n’est-il pas une industrie ?
Ces véritables chancres attirent
la crasse, principalement le plastique, les canettes, les mégots, les capsules
des bouteilles de bière. Une image que ne voient certainement pas les touristes
des palaces. Il est
grand temps de faire quelque chose à ce niveau.
Les deux seules et uniques
solutions qui me viennent à l’esprit sont d’une part le tri sélectif des
déchets et d’autre part la réhabilitation de ces anciens hotels de luxe. Il est temps de
se mettre au travail pour redonner à cette perle du Pacifique tout son lustre d’antan, elle
le mérite bien.
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