Aujourd’hui, nous nous rendons au
camp de base du Mont Kyaiktiyo, connu sous le nom de rocher d’or. En route et
sur le bord de la route, nous nous ferons expliquer l’assemblage de meubles en
bambou. Cela a l’air simple à monter et cela a aussi l’air très solide. Tout le
contraire de ce leader mondial scandinave du meuble à monter soi-même. A voir à
l’usage, c’est l’Asie après tout.
Nous nous installons dans notre
logement où nous prendrons également le repas avant de nous rendre à 5 minutes
en voiture à la gare routière d’où partent les trucks pour le rocher d’or.
Heureusement qu’Oli a vu et signalé à notre chauffeur qu’un truck était en partance, sinon nous y serions peut-être toujours, car les trucks ne partent que quand ils sont remplis. Rempli veut dire 6 petits formats par rangée et il y en a huit par truck. Evidemment, comme nous sommes grands et que nous sommes coincés comme des sardines, nous refusons de nous mettre à plus de 5 sur la même rangée. Le drame, le chauffeur ne veut pas partir et nous, nous ne voulons pas payer. Cela commence bien. Finalement, nous partons à une personne en moins sur notre rangée et une de plus sur une autre. La montée durera 45 minutes pendant lesquelles nous croiserons les doigts que rien n’arrive, car le truck fonce à toute allure et prend les virages bien serrés. Nous arrivons donc en un seul morceau, mais devrons encore marcher une bonne vingtaine de minutes jusqu’au rocher d’or. Avant cela, il nous faudra en tant que touriste payer un droit d’entrée en plus du truck. L’addition commence tout doucement à être salée. Oli, exaspéré par cette situation, inscrit dans le registre officiel, non pas son nom, mais « banque de Belgique ».
Nous slalomerons entre les échoppes à souvenirs, ôterons nos chaussures avant d’entrer sur le site et nous dirigerons vers le célèbre rocher d’or. Déception, car personne ne nous avait signalé, ni notre chauffeur, ni le guide à l’entrée, que le rocher était en travaux et qu’il était encerclé d’un échafaudage de bambou. Nous n’avons jamais été aussi dépités d’une telle situation, surtout que nous avons fait appel à une agence extérieure pour éviter de tels désagréments. Nous ne nous sommes pas attardé sur le site, mais avant de partir, nous avons manifesté notre mécontentement à la personne à qui nous avions payé le droit d’entrée, qui nous a rigolé au nez et fait mine de ne pas comprendre l’anglais. Mais quand OLI a tapé du poing sur la table en criant devant les autre touristes « I want my money back » et quand NAN a failli retourner la table sur la tête de l’employé, il n’a plus rien dit et OLI a pris l’argent qu’un autre touriste venait de payer. Comme quoi, il ne faut pas tout accepter sous prétexte que nous sommes touristes, souvent considérés comme des banques d’investissement.
Heureusement qu’Oli a vu et signalé à notre chauffeur qu’un truck était en partance, sinon nous y serions peut-être toujours, car les trucks ne partent que quand ils sont remplis. Rempli veut dire 6 petits formats par rangée et il y en a huit par truck. Evidemment, comme nous sommes grands et que nous sommes coincés comme des sardines, nous refusons de nous mettre à plus de 5 sur la même rangée. Le drame, le chauffeur ne veut pas partir et nous, nous ne voulons pas payer. Cela commence bien. Finalement, nous partons à une personne en moins sur notre rangée et une de plus sur une autre. La montée durera 45 minutes pendant lesquelles nous croiserons les doigts que rien n’arrive, car le truck fonce à toute allure et prend les virages bien serrés. Nous arrivons donc en un seul morceau, mais devrons encore marcher une bonne vingtaine de minutes jusqu’au rocher d’or. Avant cela, il nous faudra en tant que touriste payer un droit d’entrée en plus du truck. L’addition commence tout doucement à être salée. Oli, exaspéré par cette situation, inscrit dans le registre officiel, non pas son nom, mais « banque de Belgique ».
Nous slalomerons entre les échoppes à souvenirs, ôterons nos chaussures avant d’entrer sur le site et nous dirigerons vers le célèbre rocher d’or. Déception, car personne ne nous avait signalé, ni notre chauffeur, ni le guide à l’entrée, que le rocher était en travaux et qu’il était encerclé d’un échafaudage de bambou. Nous n’avons jamais été aussi dépités d’une telle situation, surtout que nous avons fait appel à une agence extérieure pour éviter de tels désagréments. Nous ne nous sommes pas attardé sur le site, mais avant de partir, nous avons manifesté notre mécontentement à la personne à qui nous avions payé le droit d’entrée, qui nous a rigolé au nez et fait mine de ne pas comprendre l’anglais. Mais quand OLI a tapé du poing sur la table en criant devant les autre touristes « I want my money back » et quand NAN a failli retourner la table sur la tête de l’employé, il n’a plus rien dit et OLI a pris l’argent qu’un autre touriste venait de payer. Comme quoi, il ne faut pas tout accepter sous prétexte que nous sommes touristes, souvent considérés comme des banques d’investissement.
Plus qu’énervés par la situation
il a fallu en plus à nouveau négocier nos places dans le truck. Même cinéma
qu’à l’aller, mais nous n’avons pas plus
fléchi. La descente fut plus rapide, mais pas moins dangereuse pour la cause.
Pour couronner le tout, nous sommes rentrés à pied à l’hôtel, car notre
chauffeur ne nous attendait pas où il avait prévu de nous attendre.
Le lendemain, après une bonne
nuit, nous avons repris la route direction Rangoun et son aéroport, pour
prendre notre avion direction Bangkok. Mais avant, nous nous sommes fait rembourser
l’argent que nous avions dépensé pour
l’excursion vers le rocher d’or, sous
forme de repas, offert par l’agence via laquelle nous étions passés, car
OLI a forcé la main à la directrice. Nous nous sommes évidemment bien gardés de
lui raconter l’épisode de la récupération de notre droit d’entrée. Il ne faut quand
même pas être plus bouddhiste qu’un moine.
Bye bye Myanmar.
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