vendredi 15 janvier 2016

Gili, Gili, Gili.


Après 10 jours de visite intense sur l’île de Java nous nous octroyons un peu de détente aux îles Gili que nous atteindrons après 1h10 de navigation à bord d’un bateau rapide sur une mer d’huile. Les îles Gili sont au nombre de trois : Gili Air la plus proche de l’île de Lombok dont les trois îles font parties, Gili Meno la plus petite au centre et Gili Trawangan la  plus festive à l’ouest et la plus proche de Bali.



Nous passerons 6 jours sur Gili Air et ensuite 4 jours sur Gili Meno avant de retourner sur Bali. La particularité de ces îles est qu’il n’y a pas de véhicule motorisé, uniquement des charrettes colorées en bois tractées par des chevaux. Les autres moyens de transport si l’on ne veut pas payer les 100.000 IDR (6,50 €) reste le vélo, la moto électrique ou la marche à pied. L’île de Gili Air n’est pas très grande, elle fait environ 1,4 km de long sur 1 km de large, avec une topographie plate.






Sur Gili Air, nous logerons  3 nuits à la « Firda Homestay » qui se trouve à 300 mètres du port où arrivent tous les bateaux. L’accueil est chaleureux, les tenanciers sont très charmants, toujours prêts à rendre service et le logement est très honorable. Il n’y a que quatre bungalows à disposition et pour le rapport qualité prix on comprend fort bien que la demande est grande. Par ailleurs, le  petit déjeuner est bon, même s’il est assez basique, comme partout sur les îles Gili. Il faut savoir que les hôtels se comptent sur les doigts d’une seule main, l’île  offre plutôt un logement en très petites  structures qui, elles, pullulent. 







Nous devrons malheureusement changer d’établissement en cours de séjour, mais nous n’y perdrons pas au change, car pour un léger supplément, nous aurons la chance d’avoir  une très belle piscine au « Si Pitung Village ». Le bungalow est sensiblement de la même taille, juste la pièce d’eau est un peu plus grande. Le petit déjeuner est également basique mais bon. 





La piscine et la chaleur ambiante permettront à Nan de tout doucement reprendre du poil de la bête pour explorer Gili Air. l’île est un dédale de ruelles avec ci et là des établissements les uns à côté des autres et une piste qui fait pratiquement le tour de l’île en passant par le phare et le village principal qui lui se compose de deux rues. Les charrettes tirées par les chevaux ne cessent de passer avec des touristes qui ne désirent pas porter leurs bagages sous un soleil de plomb.





















Pour nous rendre sur Gili Meno, nous prendrons le bateau public et débarquerons les pieds dans l’eau sur la plage en contre bas du quai. Un employé du « Two Brothers Bungalow » où nous logerons en bord de mer nous attend et nous guidera à bord de sa moto électrique à travers les ruelles de terre poussiéreuses jusqu’à l’opposé de notre point d’arrivée (800 mètres avec nos bagages sur le dos). Et  dire que certains rêvent de faire Koh Lanta. Nous nous installons dans notre joli bungalow face à la mer.





Gili Meno est effectivement plus  petite et moins fréquentée comme l’atteste le peu d’établissements touristiques. Le tour de l’île  peut se faire à pied, soit par la plage, soit  sur le petit  sentier longeant la plage. Nous arriverons assez rapidement où nous avions débarqué la veille et comme il semble que ce soit l’unique endroit où tous les quelques commerces se concentrent, nous en profiterons pour y manger un bon hamburger avec des frites.









Etant donné que notre activité snorkeling a été reportée au lendemain, nous nous relaxerons donc sur la plage afin d’entretenir notre bronzage et attendre le joli coucher du soleil. 







                     

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