Comme rien ne nous arrête
actuellement et que nous sommes motivé de découvrir ce que l’île de Maui nous offre de plus surprenant, nous avons décidé de nous rendre sur les
coulées de lave se trouvant au sud de la péninsule est. Pour nous y rendre, nous
empruntons la route côtière qui passe par le « Kealia Pond refuge »,
où nous décidons de faire notre première halte. Nous y découvrons une mini
réserve d’oiseaux dans un paysage marécageux tout proche de la mer. C’est une
randonnée agréable, facile, d’une demi-heure, accessible par une passerelle qui
surplombe le site.
Nous continuons notre route
direction « Kihei » et ses multitudes plages où la route côtière
sépare la mer ainsi que ses belles plages, des hôtels de petites structures.
Par contre « Wailea » est nettement plus huppé et les hôtels 5
étoiles sont légion. Ils sont plus disséminés dans de gigantesques parcs privés
entourés de nombreux golfs.
« Makena »
offre moins de logements, mais plus de plages accessibles au grand public,
comme par exemple Big Beach ou Makena State Park.
Plus que quelques miles à
parcourir avant d’arriver à l’entrée de la coulée de lave où serpente une
route à travers un paysage de désolation ou la nature tente petit à petit de
reprendre le dessus. La végétation commence tout doucement à se réimplanter.
A
la fin de cette routese trouve la plage « La Pérouse » en hommage au célèbre
amiral français qui avait été mandaté par le roi Louis XVI pour cartographier
l’océan pacifique à la recherche de nouvelles terres. Il semblerait qu’il soit
le premier européen à avoir accosté à Hawaï en 1786.
En bordure de mer, nous entamons
notre randonnée de 2 heures sur une plage de sable noir direction l’inconnu. Le
sentier n’est pas vraiment balisé, mais il est visible et se devine aisément.
Nous longeons quelque peu la mer, apercevons un petit trou du souffleur, puis
nous nous enfonçons dans la végétation. arbres, buissons, palmiers, puis plus
rien d’autre qu’un paysage de roches dont on devine la force avec
laquelle la nature à expulsé cette matière depuis le plus profond de ses
entrailles.
Il fait chaud, le soleil tape fort, la marche est loin d’être
facile,car le sol est inhospitalier. Heureusement que nous sommes bien
équipés: chaussures, bâtons de randonnée, sacs
à dos, réserve d’eau et crème solaire. Nous rebroussons chemin après une
heure de marche car il semble que le
paysage sera le même tout au long des 7 miles que fait cette
randonnée.
Au retour une petite halte bien
méritée sur une plage pour profiter de l’ambiance de fin de journée.
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