Très bien installés en bord de
plage avec vue sur la mer depuis la piscine de l’établissement, nous savourons
l’endroit, le spectacle sur la plage et sur la mer. Nous nous offrirons une
séance de massage sur la plage négociée directement avec l’une des nombreuses
vendeuses à souvenir qui parcourent la
plage. Quand nous concrétisons, nous contentons deux d’entre-elles et mécontenterons
dix autres. Nan m’interpelle et me demande si moi aussi j’ai l’impression de
sentir non pas deux mains, mais quatre mains. Et oui, deux autres masseuses se
sont invitées. Ce n’est pas grave, car le montant de la prestation était
tellement dérisoire, que nous avons
finalement fait plaisir aux quatre.
Il faut admettre que c’est la
première fois de notre vie que nous avons l’impression de ne pas être à notre
place en voyant le niveau de vie des villageois, par rapport à l’établissement
dans lequel nous séjournons qui n’a rien d’un palace. Nous nous faisons
tellement mal des vendeurs et vendeuses, que nous ne négocierons jamais les
prix, tellement tout est bon marché.
Petite anecdote d’un achat avorté
que nous regrettons toujours aujourd’hui, c’est quand une dame a parcouru tout
le village pour trouver un T-shirt qu’Oli aimait vraiment bien, mais qui était
trop petit. Elle ne s’est pas démontée, elle est revenue au moment du diner
avec le même T-shirt où elle avait écrit à la main LX sur l’étiquette au lieu
de XL. Nous avons tous bien rigolé et elle est repartie sans rancune en
disant : « tu es aussi grand qu’une baleine ».
Nous dinerons une dernière fois
sur la plage à la lueur du feu de bois, en compagnie d’un groupe musical où la
particularité des danseuses réside dans le fait qu’à un moment elles semblent
être en transe et se roulent sur le sol.
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